29/03/2020 – 05h00 Palavas-les-Flots (Lengadoc Info) – Le Coronavirus et le confinement ne semblent pas arrêter l’implantation de nouveaux centres de migrants dans la région. L’ouverture récente et en catimini d’un centre d’accueil à Palavas-les-Flots créé quelques vagues dans la cité balnéaire.
Cinquante migrants s’installent à Palavas
Cette semaine l’association pro-migrants Coallia, présidée par l’ancien préfet de Paris Jean-François Carenco, a ouvert un « centre d’accueil de confinement » recevant cinquante « mineurs non accompagnés » à Palavas-les-Flots, au centre de vacances Le Grain de Sel, avenue Saint Maurice.
« Dans l’urgence, on met en place des centres qui permettent à ces jeunes de se regrouper et d’être confinés au même endroit. Mais qui dit regroupement, dit obligatoirement une gestion particulière face à la crise sanitaire. Il y a tout un tas de gestes particuliers, notamment les gestes barrières, mais le faire entendre à des jeunes de 15 à 18 ans, c’est évidemment dur pour nos équipes éducatives » explique l’ex-député écologiste Christophe Cavart, résponsable de Coallia pour l’Hérault.
L’opposition municipale inquiète
Une initiative qui visiblement s’est mise en place en catimini et sans que les Palavasiens ne soient mis au courant. C’est en tout cas ce qui ressort du communiqué diffusé par l’opposition municipale qui pour l’occasion a fait bloc (à l’exception du socialiste Guillaume Klein) : Sandrine Arnal, Marion Benezech, Mathieu Soliveres, François Migayrou pour Génération Palavas 2020, Henri Savard pour Palavas Nouvelle Ère et Stéphane Vincent du Rassemblement National.
Dans ce communiqué les élus expliquent qu’ils ont été « très surpris d’apprendre -par la presse- la réquisition décidée par le préfet » et demandent des comptes à Christian Jeanjean
Des questions auxquelles le maire de Palavas a répondu brièvement sur sa page Facebook, expliquant que les « mineurs non accompagnés » étaient encadrés par dix éducateurs et quatre gendarmes mais que la gendarmerie de Palavas ainsi que la police municipale étaient également mobilisés. Enfin, il précise que cette présence ne doit durer que le temps du confinement.
Joint par Lengadoc Info, Stéphane Vincent s’inquiète de la situation :
« Ce que je ne trouve pas normal c’est que le préfet s’impose, que le maire ne dit rien, il dit « oui oui ». Moi je n’en veux pas, je préfère aider les Palavasiens. Il n’y a plus à manger à la banque alimentaire de Palavas et on nous impose cinquante mineurs nourris logés aux frais de la princesse. »
Deux autres « centre d’accueil de confinement » doivent ouvrir également à Saint-Jean-de-Vedas et à Béziers.
Photos : Lengadoc Info
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Je n irai plus à palavas pour mes loisirs si c est pour y trouver la même faune qu à Montpellier
C’est inadmissible. Ces gens ne devraient même pas être chez nous. Ces associations sont des collabos islamistes, anti français, pro grand remplacement.
mineurs ou pas dehors ! rapatriez les d’office