11/02/2017 – 10h25 Montpellier (Lengadoc Info) – « Des agitateurs culturels », « jeunes en mal de logement », « le cœur de la vie alternative », « des étudiants fauchés », « des travailleurs pauvres », c’est par ces termes que la presse régionale (France 3 Languedoc-Roussillon et TV Sud) présentent les squatteurs qui occupent illégalement l’ancien cinéma le Royal à Montpellier. Des termes plutôt élogieux qui font de ce squat un haut lieu de la culture à Montpellier. Mais est-ce vraiment le cas ? Qui se cache derrière le Royal ? Lengadoc Info dévoile un autre visage de ce qui est en réalité le repaire d’une extrême-gauche très sulfureuse.
Le Royal, un squat sous la coupe de Jules Panetier
Ce que France 3 et TV Sud semblent oublier, c’est que le squat Le Royal est avant tout un squat politique marqué à l’extrême gauche la plus radicale. Né au moment des manifestations contre la Loi Travail, ce squat a été créé par des activistes de la mouvance anarchiste.
Parmi les initiateurs on retrouve un certain Jules Panetier, un militant antifa bien connu des services de police à Montpellier. Fondateur du journal Le Poing, il a été condamné à deux mois de prison pour avoir proféré des menaces de mort à l’encontre d’un policier et menacé de violer sa femme et ses enfants. Interpellé de nouveau en novembre dernier, il est actuellement placé sous contrôle judiciaire et doit passer en jugement le 30 mars prochain pour outrage à agent.
C’est ce même Jules Panetier qui s’était ouvertement réjoui que 16 policiers avaient été blessés lors d’une manifestation contre la Loi Travail en mars dernier. Il avait également indiqué sur son compte facebook que « l’intifada des couteaux des Palestiniens » était légitime.
Espace culturel ou permanence politique ?
Le Royal est donc un squat fortement politisé et le revendique haut et fort. Dans une vidéo de promotion publiée sur la page facebook du squat, un des occupants (bien que l’image soit floutée on croit reconnaître Jules Panetier) explique que « c’est quand même plus sympa d’avoir un lieu vivant avec des cours de marxisme, des cours de théâtre, de boxe, etc ». Il ajoute que « si un squat ne se fait pas expulser ça veut dire qu’il est sous perfusion de la mairie (…) ça veut dire que le squat il n’est plus politique ».
Un peu plus loin dans la vidéo, une autre personne déclare que le Royal « c’est un lieu où tu peux te réveiller à trois heure du matin et entendre parler de politique, te réveiller à sept heure du matin et entendre parler de politique et à quatorze heure et entendre parler de politique. Le Royal c’est un lieu profondément politique (…) ».
Les drôles d’amis du Royal
Et forcément, un lieu comme le Royal attire du monde, beaucoup de monde… trop de monde ? En tout cas certains habitués des lieux ont des profils pour le moins inquiétant. C’est au Royal que se réunit par exemple la branche héraultaise du FUIQP (Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires) du sociologue Saïd Bouamama. Un mouvement qui a été épinglé par le site confusionnisme.info pour avoir diffusé un dessin antisémite.
On est très loin de l’image des « agitateurs culturels » vendue par France 3 Languedoc-Roussillon et TV Sud.
Photos : DR
Lengadoc-info.com, 2017, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
La gauche marxiste devenue islamophile … bref des islamo gauchistes !
Merci, je connaissais pas ce lieu, j’aurai l’occasion d’y aller! Marrant de voir l’entaine locale des identitaires, trainant pourtant avec des nazis, se plaindre de l’antisémitisme supposé du FUIQP… Hahaha. Sinon il parait qu’un type aurait vu une meuf qui connaitrait un gars qui serait sûr d’avoir aperçu Staline là bas, pensez à le rajouter à l’article 😉