06/04/2020 – 19h40 Saint-Jean-de-Védas(Lengadoc Info) – La pétition lancée par le maire de Saint-Jean-de-Védas contre l’installation d’un centre de migrants sur la commune semble connaître un certain succès. Une situation qui ne plait pas du tout à la Ligue des Droits de l’Homme.
Plus de 600 personnes ont déjà signé la pétition
Mercredi dernier, Lengadoc Info annoncait en premier la mise en place d’une pétition par la mairie de Saint-Jean-de-Védas contre l’installation par la préfecture de l’Hérault via l’association Coallia, d’un centre de confinement pour des « mineurs non accompagnés » comme cela est le cas à Palavas-les-Flots.
Le but de la mise en place de ces centres était d’éloigner les jeunes immigrés clandestins du centre-ville de Montpellier et dont certains d’entre eux posent d’importants problèmes de sécurité. Des problèmes qui sont accentués en cette période de confinement comme l’expliquait récemment le secrétaire départemental du syndicat de policiers Alliance.
Si le maire divers droite de Palavas, Christian Jeanjean, expliquait qu’il s’agissait d’une preuve « d’humanisme et de solidarité », l’opposition municipale a fait bloc (à l’exception de l’élu socialiste) contre le projet.
Mais à Saint-Jean-de-Védas, c’est le maire, Isabelle Guiraud, qui a pris la tête de la fronde. Celle-ci expliquait dans une lettre au préfet que sa ville ne disposait d’aucune infrastructure pour l’accueil de ces migrants. Elle dénonçait également l’absence d’information de la part de la préfecture. Pour appuyer sa démarche, l’élue a donc lancé une pétition qui a recueilli plus de 600 signatures ce lundi.
Face à cette opposition, il semblerait que l’Etat ait fait marche arrière, le préfet ayant finalement déclaré qu’il n’y avait pas de projet de centre à Saint-Jean-de-Védas.
La Ligue des Droits de l’Homme veut faire retirer la pétition
Bien entendu, une telle opposition contre un centre de migrants a engendré une réaction des élus et associations de gauche. La Ligue des Droits de l’Homme, la CIMADE et le Réseau Education Sans Frontières ont publié un communiqué commun afin de dénoncer ce qu’ils considèrent comme un « appel à l’exclusion et à la haine vis à vis des migrants » :
« Aucun élu responsable ne doit appeler à la haine et à l’exclusion et nous demandons à ce que cet appel à signer une pétition soit retiré dans les plus brefs délais par Mme la Maire et proclamons que Saint Jean de Védas, comme d’autres collectivités se doit d’être accueillante […] ».
Guerre des mots oblige, on notera que le communiqué présente ces migrants comme étant des « enfants ». Une dénomination « originale » alors que selon Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, 60% à 70% des demandes de prise en charge faites, au niveau national, le sont par de faux-mineurs.
Toujours selon le communiqué, il y aurait entre 500 et 600 mineurs non accompagnés à Montpellier. En novembre 2019, le président de l’Hérault, le socialiste Kleber Mesquida, a reconnu que le département s’occupait de 880 mineurs étrangers.
Photos : DR
Lengadoc-info.com, 2020, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
Comment des mineurs ont ils pu arriver jusque chez nous alors qu’il faut de l’argent pour les passeurs et que des mineurs sont sensés ne pas travailler ? Je pense qu’il y a des associations LDH et autres qui participent à l’arrivée de ces jeunes, pour que le grand remplacement se fasse dans l’empathie générale de la population autochtone blanche. Dans les pays d’ou ils viennent les jeunes sont persécutés ? Il y a la guerre ? Si c’est le cas il faut qu’ils se défendent et agissent dans leur pays et non dans le notre.LML
Il y a multitude d’associations qui aident les migrants à franchir les frontières et la Méditerranée pour envahir l’Europe. Le principal généreux donnateur est le miliardaire americain Soros. Il veut établir le Nouvel Ordre Mondial dont il serait le président. Ça passerait par l’islamisation totale de la planète.