17/01/2019 – 18h30 Montpellier (Lengadoc Info) – Un jeune adolescent de 14 ans a été sauvagement agressé par plusieurs individus vendredi dernier aux alentours du collège Joffre à Montpellier. Une agression qui suscite aujourd’hui une polémique due au fait que les accusés feraient partie des migrants albanais qui commettent régulièrement des agressions dans le centre-ville.
Un collégien agressé à coup de couteau par plusieurs albanais
Il est aux environs de 18h ce vendredi lorsque Gibril, 14 ans, aperçoit quatre individus s’en prendre à un enfant. Il prend alors la défense du jeune âgé de 11ans mais les agresseurs s’en prennent alors à lui en le rouant de coups. Gibril recevra également un coup de couteau au niveau de l’arcade sourcilière.
Trois des quatre agresseurs seront interpellés par un équipage de la Brigade Anti Criminalité (BAC) le lendemain après-midi aux environs du Cours Gambetta. Lors de sa déposition, la victime a reconnu ces agresseurs sur les fichiers de la police. Il s’agit de migrants albanais âgés de 15 à 18 ans. Selon la mère de la victime, les individus auraient déclaré à son fils au moment de l’agression : « Nous sommes des Albanais, les patrons de Montpellier, on touche pas les Albanais ».
Jugés ce lundi, les albanais ont déjà été relâchés
Si le plus âgé des trois individus a été mis hors de cause, les deux autres interpellés, des mineurs étrangers non accompagnés, ont été mis en examen par un juge pour enfants pour violence volontaire avec une arme. Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
La criminalité et les violences causées par les migrants albanais à Montpellier ne sont pas un fait nouveau. En 2017, un rapport confidentiel des renseignements territoriaux avait fuité dans la presse. Ce rapport révélait comment les Albanais s’étaient implantés sur le Cour Gambetta grâce, notamment, à une association d’aide aux migrants dirigée par un ancien préfet de l’Hérault.
Photos : DR/ Facebook
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Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire
Comme toujours, la justice attend qu’il y ait des morts.
Gageons que si ce fut un « mineur isolé » tabassé, ses agresseurs seraient déjà en prison, et une dizaine d’assos de mamies au chats, partie civile…
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