18/10/2018 – 18h10 Nîmes (Lengadoc-info.com) – Des migrants qui montent clandestinement dans des camions, c’est quelque chose de très courant à Calais. Mais cette pratique est également observée depuis plusieurs semaines par des usagers de la route entre Marseille et Nîmes. Un comportement qui parfois génère des tensions entre migrants et camionneurs.
Une altercation entre des camionneurs et des migrants entre Marseille et Nîmes
Jacques est camionneur, plusieurs fois par semaine il fait des allers-retours entre Marseille et Nîmes. Depuis trois semaines, il a observé la présence de petits groupes de migrants marchant sur le bord de la route en direction de Nîmes : « ce ne sont jamais les mêmes, ils quittent généralement l’autoroute à la sortie Nîmes centre ».
Mais la semaine dernière Jacques a assisté à une scène inhabituelle. Alors qu’il est au volant de son véhicule, il voit des bouteilles tomber des deux camions devant lui : « j’ai fait des appels de phare aux chauffeurs, ils perdaient des détritus, c’était dangereux pour ceux qui étaient derrière ».
Les deux camions, conduits par des lituaniens, s’arrêtent alors au péage de Miramas. A peine les deux véhicules stoppés, Jacques, qui continuait de les suivre, a vu alors une trentaine d’individus sortir des remorques. « On a essayé de les arrêter mais on n’était que trois. Les migrants se sont alors enfuis dans les champs. On a appelé les gendarmes qui ont mis beaucoup de temps à arriver ».
A l’arrivée des gendarmes, Jacques et les deux lituaniens leur montrent alors où se trouvent les migrants. Mais la réponse d’un des militaires aurait été « on ne va pas leur courir après ».
Jacques n’en revient pas, « moi j’habite Nîmes et quand je vois arriver tous ces migrants qui se dirigent vers le centre-ville, je m’inquiète. Est-ce qu’ils vont repartir ? Est-ce qu’il y a un foyer à Nîmes ? Pourquoi les forces de l’ordre ne font pas grand chose ? »
Photos : Lengadoc Info
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Eh oui, ces « militaires » n’avaient pas reçu d’ordres pour se mobiliser !!!
Nous voyons effectivement beaucoup d’immigrés en centre ville, notamment sur le Feuchères et l’esplanade DE GAULLE.
Nombreux sont installés dans l’ancien hôtel « ACOTEL » situé prés du lycée Philippe LAMOUR lorsque d’autres sont soutenus par la croix rouge sur le périphérique. Ils vont et viennent à vélo.
Nous savons que des associations subventionnées par les collectivités, des communes à l’état, avec l’argent des contribuables participent à l’opération qui consiste à nourrir l’immigration illégale en grand.
Le R.N de Nîmes dénonce régulièrement la complaisance, la complicité de ses adversaires politiques en la matière.
Partout nous devons refuser ce diktat pour avancer une vraie réponse à la problématique. L’Afrique, notamment, souffre des dictatures, de la corruption, du sous développement, de la démographie …
Nous n’avons pas à subir l’incurie de l’ONU et de l’U.E. Union Européenne représentée à Nîmes par Franck PROUST,
Th.J conseiller Nîmes et Métropole