13/04/2017 – 18h00 Calais (Lengadoc Info) – Tribune libre – Le choc des civilisations s’est invité dans nos vies bien avant les attentats, lorsque nous avons progressivement découvert qu’une fraction non négligeable de nos compatriotes musulmans détestaient notre pays et nos mœurs qu’ils jugent dissolues ou dépravés, et qu’ils refusaient la liberté d’expression, la laïcité, la mixité, mais aussi les grandes œuvres de la littérature ou de la peinture française. En clair, ils refusent notre culture.
Les flux migratoires du demi-siècle écoulé ont changé le visage de la France, notamment en y installant durablement une importante minorité musulmane. Aujourd’hui, le séparatisme islamiste est le ferment le plus visible de la crise, mais il est loin d’être le seul. Ce qui est tout simplement en jeu, c’est précisément notre culture commune, ce qui fait de nous un peuple, ce qui nous entraîne dans la même direction.
Le Grand Remplacement est le véritable moteur de la mondialisation
La mondialisation, c’était à l’origine le déménagement de nos usines dans les pays pauvres. Aujourd’hui, c’est le déménagement de populations entières dans les pays riches. Ce ne sont pas les plus pauvres qui émigrent, mais les moins pauvres des pays pauvres. Les stratégies d’aide au développement sont donc un leurre, tout comme le nouvel enfumage des bien-pensants : « les réfugiés climatiques… ».
Les immigrés d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec ceux d’hier, car les migrations à longue distance qui viennent du monde entier, ont remplacés les déplacements de proximité. Ceux-ci rejoignaient une nation, une culture, une histoire à laquelle ils s’assimilaient : ceux-là rallient une diaspora étrangère et ne cherchent qu’à « valoriser leurs compétences ».
L’économisme comme destin pour la France ?
La question centrale de l’emploi ne doit pas nous dispenser de nous interroger sur notre avenir comme nation et sur la société dans laquelle nous voulons vivre. Il suffit de regarder et la réalité saute aux yeux. En France, l’Ecole est maintenant toujours traitée sous l’angle de son adaptation aux besoins de nos entreprises. La course folle à la compétitivité pour rattraper les Allemands, puis les Polonais, puis les Chinois : est-ce cela notre projet de Civilisation ?
Les centres commerciaux qui défigurent nos campagnes et vident les centres des petites villes qui incarnaient la douceur de vivre française, sont une menace pour notre identité. De même que les usines qui continuent à quitter notre territoire pendant que les placards se remplissent de produits « low-cost ».
C’est vrai qu’il existe des « gagnants de la mondialisation » : ils ont des raisons de la trouver plutôt heureuse. Donc de voter Emanuel Macron. N’empêche : à Lunel, les bienfaits de la mondialisation sont moins éclatants qu’à Lyon.
Pour les partisans du multiculturalisme, ce ne sont pas les mœurs qui font une nation, mais des papiers. Pas l’histoire, mais le droit. L’homme est un « homo migrans ». L’homme comme être indifférencié, sans mémoire ni racines.
Le retour du combat Biblique entre Caïn et Abel
Nous sommes revenus au plus ancien affrontement de l’humanité : l’opposition entre ceux qui viennent de loin et ceux qui viennent de près. Une opposition qui remonte au début de l’ère Néolithique quand l’agriculture et l’élevage se sont répandus sur la Terre. Le combat biblique entre Caïn l’agriculteur et Abel le pasteur, c’est le combat de sociétés hiérarchiques issues du nomadisme incarnées par Boko Haram et Daech, par exemple, opposées à des sociétés plus démocratiques d’agriculteurs sédentaires.
Nos immigrationnistes et nos belles-âmes trouvent ringards (et racistes) ceux qui s’offusquent et souhaiteraient vivre comme ils l’entendent. Vous vous plaigniez de l’immigration chez vous ? Immigrez chez les autres ! Entrez dans la danse plutôt que de tenter vainement de l’interrompre. Ne pensez surtout pas au destin de votre pays, pensez à votre destin individuel. Il faudra admettre que la France perdra une partie de ses « meilleurs » citoyens qui seront remplacés par une partie des « meilleurs » citoyens des pays exotiques.
Les uns remplaceront les autres.
Germanicus
Photos : DR
Lengadoc-info.com, 2017, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
Avec l’immigration-invasion, le rapprochement familial, le droit du sol, les pondeuses super-actives, une question sera bientôt sur toutes les lèvres : « Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne lorsqu’ils deviendront minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? » suivant love story « les corps indécents » Bien réfléchir avant de répondre. Bonheur du vivre ensemble ou malheur du vivre ensemble ?
Votre commentaire traduit ce sentiment d’abandon qui se manifeste chaque jour un peu plus fort. Afin d’assurer le règne sans partage de la marchandise, il fallait organiser » l’interchangeabilité » des être humains. C’est ce processus qui se déroule sous nos yeux, soigneusement entretenu par les politiques collaborationnistes.
Pour lutter contre ce grand remplacement, encore faudrait-il qu’il y ait des énergies pour le combattre, soit des autochtones attachées à leurs racines, mais aussi opposés au départ de nos ressources à l’étranger. Quand on voit ce qu’il en est sur ce dernier point: hormis des déplorations et quelques protestations syndicales….
Vous posez la question de la soumission de notre Peuple aux injonctions des mondialistes qui veulent transformer nos Patries en vastes Halls de gare. Le Grand Remplacement est conditionné à la mise en dhimitude des autochtones, ahuris par les mirages de la consommation de masse. Les Bisounours ont remplacés les Patriotes !